Le Malais de Magellan va bien. La moitié des 300 exemplaires imprimés est d’ores et déjà écoulée, un petit mois après sa sortie. Outre ce succès d’estime, ce qui me touche le plus est la réception du livre par ses premiers lecteurs. Certes, ce sont principalement des souscripteurs, qui partaient avec un préjugé favorable. Mais ont, comme en témoignent les extraits de courriels reçus depuis quelques jours, adhéré à cette périlleuse fiction. Mis en confiance par ses premiers retours Je vais maintenant élargir un peu la diffusion. A Nantes et vraisemblablement à Paris. Pour l’heure, hors Nantes, Alençon et Savenay, il vous faut cliquer sur le lien éditeur sur la colonne de droite pour l’obtenir par la malleposte (frais de port offerts).
Lu (d’une traite sous un beau soleil grec) ! C’est une très belle histoire, à la croisée de plusieurs univers passionnants très bien servie par ton style haletant. L’intrigue d’imprimerie est vraiment bien trouvée. Le géographe que je suis va maintenant se renseigner sur cette histoire de premier homme à avoir fait le tour du monde. J.D.
J’ai beaucoup aimé le lire. Je l’ai trouvé à la fois léger (facile à lire, court) et très dense (énormément d’info ds ces quelques pages). La chute est délicieuse, bien faite, et profonde. Tant que l’histoire de la chasse sera racontée par le chasseur… Pour moi qui ai grandi sur ces terres si familières ou se passe le récit, mais qui ai passé ma vie au monde des poules d’Inde, je pense qu’il y avait une saveur particulière, puisque la lectrice écrit aussi le livre. Un regret, j’aurais aimé y voir la liste de ce que tu as lu pour rechercher ce livre qui m’a mis l’eau à la bouche. Envie d’en lire plus sur Marguerite de Navarre, sur cette époque (déjà lu quelque peu sur l’impact de l’imprimerie sur la croissance du protestantisme). Et puis bien sûr, vouloir démêler la fiction du vrai. Comme si c’était possible. R.L.
Lu en 2 jours. J’ai vu Léonard et Louise penchés sur les aventures du Malais de Magellan, signe que ça fonctionne. J’ai aimé l’ambiance et me demandais quelles lectures t’avaient le plus influencé. Enfin c’est la première fois que je m’arrête durant la lecture d’un roman pour observer la patte d’un p. G.J.
J’ai aimé l’écriture, très juste entre un style contemporain et témoin pourtant du langage de l’époque. Et ce que tu racontes est passionnant, sans que l’érudition soit écrasante, tu nous apprends plein de choses. Les personnages sont attachants et on y est tout à fait.
Hâte de lire une suite. C.B.
Dans ce que j’ai aimé, il y a aussi le mélange de choses dont on sent qu’elles sont historiques (ou très proches) et de descriptions de paysages, de relations entre les personnes, de mode de vie qui eux aussi doivent être assez proches du réel du temps. On sent que tu as grandement lu et compilé ! Bravo ! Et puis, j’aime bien une fin qui n’est pas un happy End sans pour autant être dramatique. Le roman et le ton d’ensemble restent “légers” dans un temps qui pourtant ne l’était guère, mais qui devait être vécu de façon bien moins dramatique que nous pouvons l’imaginer, tant la violence physique et la mort étaient présentes. J.P.L.
J’ai terminé ton livre très vite après l’avoir commencé, parce que cela se dévore. C’est passionnant, étonnant et on apprend tant de choses: l’imprimerie, le tour du monde etc. C’est bien mieux que du J.C. Rufin! C’est tellement riche qu’il y aurait un second roman à faire que je vois presque inclus dans celui-ci et j’espère que tu le feras. C.D.