Place Royale, Nantes, mercredi 7 janvier 2015, 18 heures. Photo : Ouest-France.
2 réflexions sur « La belle réponse »
PhilippeAuteur de l’article
Oui Pascale, il faudra bien passer à la réflexion. Je m’y suis essayé hier soir, mais cette réflexion était encore trop imprégnée d’affects et j’ai préféré renoncer. Tant de choses se bousculent.
Je constate comme vous qu’il est impossible de répondre sur les deux sujets illustrés par des dessins. Je ne sais pas pourquoi.
Le dénouement semble approcher. Il nous faudra, bien sûr revenir sur tout cela au calme.
p.
impossible de laisser un mot sous la Tour Eiffel… message affirmant que le contenu est introuvable!
Je voulais juste dire “frissons” d’émotion, bien sûr!
Mais il faudra bien un jour, quand? faire coïncider l’émotion et la réflexion. Garder la première intacte tout en n’édulcorant pas la seconde. C’est pas gagné.
Mais des foules entières, qui ne se sont pas forcément lecteurs réguliers des journaux, et surtout des journaux papier, viennent de découvrir qu’il y a en France une presse satirique de grand talent où l’insolence oblige à l’intelligence et la finesse.
Déplacer les mots pour dire l’horreur et l’impensable vers “la belle réponse”, c’est à peu près tout ce qui, pour le moment m’est possible. Humblement.
Oui Pascale, il faudra bien passer à la réflexion. Je m’y suis essayé hier soir, mais cette réflexion était encore trop imprégnée d’affects et j’ai préféré renoncer. Tant de choses se bousculent.
Je constate comme vous qu’il est impossible de répondre sur les deux sujets illustrés par des dessins. Je ne sais pas pourquoi.
Le dénouement semble approcher. Il nous faudra, bien sûr revenir sur tout cela au calme.
impossible de laisser un mot sous la Tour Eiffel… message affirmant que le contenu est introuvable!
Je voulais juste dire “frissons” d’émotion, bien sûr!
Mais il faudra bien un jour, quand? faire coïncider l’émotion et la réflexion. Garder la première intacte tout en n’édulcorant pas la seconde. C’est pas gagné.
Mais des foules entières, qui ne se sont pas forcément lecteurs réguliers des journaux, et surtout des journaux papier, viennent de découvrir qu’il y a en France une presse satirique de grand talent où l’insolence oblige à l’intelligence et la finesse.
Déplacer les mots pour dire l’horreur et l’impensable vers “la belle réponse”, c’est à peu près tout ce qui, pour le moment m’est possible. Humblement.