Le journal des étudiants d’infocom Nantes sur le festival des 3 Continents, consacré aux cinémas d’Afrique, d’Amérique latine et d’Asie, vient de paraître. A la Une un sujet sur le centenaire du cinéma indien. Pour y accéder cliquer sur la photo.
A propos d’Inde, signalons que les bien nommées éditions du Petit Véhicule seront présentes ce week-end (23/24 novembre) au salon du livre de Guérande . Vous y trouverez notamment La Moto bleue, récit d’un voyage au pays de Ganesh, à pied, en train et en rickshaw, en compagnie d’un garçon de onze ans. Et naturellement mon dernier attentat contre la littérature Au Royaume de Siam.
Merci M. Court. Etant le dieu de ce blog, j’ai la possibilité de corriger les erreurs dans les commentaires, ce que je viens de faire. Bonne soirée.
La remarque s’appliquait aux éditions du Petit Véhicule, tout simplement.
Au fait ce serment est un sermon sur ….!
Parmi les lectures au long cours dans lesquelles je suis embarqué figure, M. Court, Un prêtre marié de Barbey. C’est très étrange, je souffre à la fois mille morts, furieux contre la catastrophe annoncée, la prison mentale dans laquelle sont enfermés les personnages, l’absence de porte de sortie, et reviens, fasciné par la pénétration de l’auteur.
Que voulez-vous dire par : petites éditions, vade retro Satanas ? Je ne sais pas comment prendre cette remarque.
Oui, le Ferrari est redoutable, je l’avais écrit en son temps. Mais quel somnifère…
Pour vos petites éditions, vade retro, Satanas!
Un commentaire sur Valéry pour PMB
Bien à vous.
MC
Merci Elena pour ce signe de vie. De fait, les dernières chroniques invitent peu aux commentaires. Une explication à cela : je suis d’une part embarqué dans une série des travaux qui nous éloignent de la littérature (après les Trois continents, une série de conférences à préparer sur l’habitat social puis un épais document à rédiger sur les industries culturelles et créatives) et d’autre part embarqué dans des lectures au long cours qui ne peuvent, pour l’heure, être commentées. Les quelques lectures plus légères de ces derniers temps, dont Le sermon sur la chute de Rome, le prix Goncourt de l’an dernier, ne m’ont pas suffisamment inspiré. Je navigue donc à vue, avec la préoccupation de laisser l’atelier ouvert et aussi vivant que possible. L’une des vertus de l’exercice est de maintenir un courant d’air frais.
Vous me donnez toutefois l’occasion de rebondir sur Satyajit Ray, dont j’ai chroniqué l’an dernier un recueil de nouvelles : La nuit de l’indigo (je ne sais plus si le papier est en ligne, les archives ayant disparu un moment). Un recueil où l’auteur flirte en permanence avec le fantastique sans avoir l’air d’y toucher (publié aux Belles lettres). L’une des ces nouvelles raconte notamment l’histoire d’un chien qui rigole et questionne avec humour notre rapport à la condition animale. Bon dimanche.
Désolée pour mon silence. Mon ignorance sur les sujets abordés ne me permet rien d’autre.
Je ne suis pas très Bollywood et cela doit faire plus de vingt ans que je n’ai pas revu un Satyajit Ray, c’est dire à quel point je suis totalement incompétente, n’ayant en outre jamais posé le pied en Inde ni en Amérique du Sud (l’absence d’espagnol dans les langues vivantes apprises aux lycées nuit gravement à la curiosité, manifestement).
Ce qui ne m’empêche évidemment pas d’avoir une pensée chaleureuse pour les habitués du blog et les étudiants mentionnés plus haut (à défaut d’un commentaire constructif).